Imaginé comme une masse blanche sertie dans un écrin végétal, le projet s’installe dans le bâti de Montrouge.

Le corps du bâtiment est intégralement développé sur tout le linéaire de l’avenue Verdier et l’avenue de la Marne, proposant de grands plateaux offrant de vastes surfaces d’échanges de plain-pied, tout en restant dans des standards d’habitabilité et de sécabilité actuels.

La volumétrie générale du bâtiment s’inscrit dans une composition architecturale très classique avec un socle, un corps de bâtiment et un attique. Proposant de faire flotter le volume au-dessus de l’espace vert, le rapport au sol est pensé pour générer de la légèreté. Le socle s’estompe au profit du végétal.

Un retrait avenue Verdier marque l’accueil au centre du bâtiment : un hall ouvert sur le cœur d’ilot, cadré par une batterie d’ascenseurs desservant tous les plateaux. Le hall d’entrée met en relation la rue et un cœur d’ilot protégé, intime, un jardin paysagé imbriqué dans les volumes des bureaux. La volumétrie de cet espace de travail est simple, rationnelle avec une démultiplication de larges terrasses ouvertes sur un paysage de premier plan du sud parisien.

Les espaces de restauration et de caféteria sont compris entre une mitoyenneté et un vaste espace paysagé. Le restaurant très transparent s’ouvre sur le rez-de-jardin, serti dans le végétal. On déjeune dans le jardin, les plantes génèrent mouvement et intimité.